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Études de cas

Pauline a suivi le programme du coaching league en individuel 2x.

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Pauline

Pesnel

manager "avec amour"
Et en restant dans
l'axe de l'entreprise

“On a perdu 12 personnes d’un coup… et 3 mois plus tard, on prenait 6 semaines de vacances et on en profitait vraiment.”
 

Pauline et moi avons commencé à travailler ensemble au début de l’été 2024. 1 an plus tard, nous terminons le premier volet et décidons communément de prolonger la collaboration.
 

Voici le témoignage de Pauline, cogérante avec Antonin Corot des 3 restaurants Avec Amour, après 1 an de coaching et conseil en management, organisation et stratégie.

1. Avant l'accompagnement :

“Avec Antonin, on gérait tous les problèmes au quotidien, tout le temps. Problème après problème.”

Pauline et Antonin ont 3 restaurants Avec Amour.

 

3 équipes, 3 locaux, 3 managers, 3 responsables cuisine… Et quand quelque chose se passe dans un restaurant, ils savent que ça peut très vite se multiplier dans les 2 autres. Surtout quand on parle de problématiques liées au management des équipes.

Avant qu’on travaille ensemble, ils avaient déjà mis en place des fiches de poste pour clarifier les rôles de chacun dans les restaurants. Mais Pauline voyait bien que malgré ça, leurs réflexes de management, de posture et de communication avec les équipes, les piégeaient dans une gestion "problème par problème.”

Les fiches de poste ne semblaient plus suffire pas à stabiliser et à pérenniser l’efficacité du travail de leurs équipes opérationnelles.

Sur le papier : tout est ok, ils n’avaient pas de soucis apparents.

Mais dans les faits : “On terminait nos grosses saisons, sur les rotules, parce qu’on faisait tout nous-mêmes. Ça va un temps, mais au bout d’un moment, c’est aussi le signe qu’il y a un chantier managérial à lancer.”

2. Le déclic de Pauline : pourquoi se faire accompagner ?

“Sans accompagnement, j’aurais perdu trop de temps dans la théorie.”

C’est en lisant mes posts LinkedIn que Pauline a compris que, seuls, Antonin et elle étaient déjà allés très loin !

Mais accompagnés, ils pourraient aussi aller plus vite 🙂

Et surtout, s’épargner de nouvelles montagnes russes éprouvantes humainement.

Pauline me confie un jour qu’Antonin aurait préféré qu’ils mènent ce projet de “refonte managériale” en interne. Comme ils ont toujours tout fait.

Mais Pauline le dit elle-même : “si on l’avait fait seul, on aurait perdu énormément de temps. Comme Don Quichotte contre les moulins.”

​3. Les changements concrets

"Presque 1 an après avoir commencé ce chantier, on a perdu 12 personnes en même temps… et 3 mois après ça, on a quand même pris 6 semaines de vacances. Dont on a profité.”

À travers notre accompagnement, Pauline a progressivement changé sa posture.

 

Elle a gagné en clarté, en capacité à prioriser les sujets de management, de formation, d’outils et de communication opérationnelle.

Elle a mis en place des outils concrets pour encadrer et structurer :

  • Point individuel avec les membres de l’équipe

  • Création d’un organigramme clair

  • Canaux de communication définis

  • Agenda personnel pensé pour accompagner les équipes

  • Revue des process et temps passé en cuisine

  • Discussions construites avec les salariés

  • Spectre de suivi élargi pour les managers

 

 

Fin 2024, Antonin et Pauline pouvaient déjà constater les bénéfices de cette première partie de notre travail. Même s’il nous restait encore plein de belles choses utiles à mettre en place.

“Si on n’avait pas fait ce travail, on aurait peut-être cédé au chantage de salariés.”

Tous leurs efforts passés et l’assiduité de Pauline dans la mise en place de leur nouveau système de management leur a permis de traverser une crise RH majeure

Un salarié, visiblement affecté par toute cette nouveauté, menace de partir et “emmener ses équipes.”

Pauline et Antonin ne cèdent pas.

Les équipes partent... Et créent ainsi la place nécessaire à la possibilité pour Pauline et Antonin de reconstruire des bases solides et saines pour toute la suite du développement d’Avec Amour.

(note de Laurine : un salarié "historique" qui part suite à une restructuration, créant parfois un "effet domino" est ce qu'on appelle : du turnover sain. Plus le domino est important, plus les bénéfices de reconstruction le seront. C'est un "mal" utile pour la reconstruction, le tout est d'être prêt et équipé pour aborder ce virage les deux pieds au sol et la tête 100% disponible.)

Pauline et Antonin peuvent enfin accueillir des équipes plus à leur image, dans un système tout neuf et remis au propre, efficace et cool à gérer.

À peine, quelques semaines après cette crise (et un gros chantier opérationnel pour gérer tous les recrutements), Pauline et Antonin partent 6 semaines de vacances et en profiter (presque !) les doigts en V.

Pauline m’explique que sans le travail déjà accompli sur leur posture et systèmes, “on aurait peut-être cédé au chantage.”

Et donc repoussé le problème...

​4. conclusion

"Le truc c’est d’être prêt psychologiquement, prêt à tout."

Aujourd’hui, Pauline et Antonin continuent de gérer leurs équipes et leurs projets “avec amour”, avec le cœur et toute la passion et l’attachement qu’ils ont pour leur aventure et projet.

Mais ils le font désormais avec des outils, une vision claire.

Et une confiance musclée en leur capacité à rester centrés sur ce qui compte pour eux et en respectant plus que jamais leurs limites.

“Avant, on était trop dans l’humain, au détriment de notre entreprise. Aujourd’hui, on prend en compte l’humain, mais on le maintient dans l’axe de l’entreprise.”

5. Le mot de laurine (et non blandine, malgré ce qu'Antonin vous dira)

Au-delà de l’immense plaisir pour moi de pouvoir travailler avec des gens sympas avec qui je partage la vision d’un entrepreneuriat épanouissant et vecteur d’évolution personnelle.

Ce que j’ai vu chez Pauline, au fil de notre travail, c’est un réel et rare engagement.

Un engagement envers ses salariés : après tout, un manager nourri, confiant, cadré est un manager nourrissant, valorisant et encadrant.

Un engagement envers “l’ancienne Pauline” : constater qu’ils ont manqué de cadre est une déjà une preuve de recul. Mais aller au bout de ce chantier de structuration de leur organisation humaine, ne rien lâcher, accueillir le challenge, ça, c'est une preuve de résilience, de détermination. Et d’amour pour soi et pour son projet.

Un engagement envers “la future Pauline” : elle n’a pas attendu d’être débordée pour passer à l’action. Elle a choisi de prendre du recul, d’avancer par étapes et d’investir dans la structuration. Pas dans des solutions "magiques" qui étalent les soucis dans le temps, qu’elle aurait dû, de toute façon, gérer plus tard.

Elle me dit souvent “en session, tu ne me donnes pas de solutions toutes faites et je repars souvent avec du travail à faire. Mais c’est un engagement envers soi de prendre le temps d’aller au bout de la démarche, rester proche de ses objectifs, suivre les recommandations et les travaux de réflexion, faire les exercices, questionner quand c’est le moment. Il faut prendre le temps et quand je le fais, les choses avancent !”

Pauline, merci de m’avoir lue sur LinkedIn.

Merci pour notre premier échange : un diagnostic qui dérape complètement et pendant lequel on se retrouve à parler de nos jobs, de féminisme et de tes jolies boucles d’oreille en forme de cœur (à l'image de ce premier échange hors du cadre rigide que le business peut tenter d'adopter.)

Merci pour ta confiance, la première et la deuxième fois.

Merci pour tes mails magnifiques, poétiques, authentiques. Et drôle.

Antonin, merci pour la garde-robe et la weed pour Blandine 😂

Mais surtout merci aussi pour ta confiance qui, j’ai cru comprendre, était très dure à gagner.

Je porte désormais la casquette Avec Amour pour mes trails difficiles, en symbole “d’infusion de résilience” et “motivation à rester dans mon axe.”

 

à toi, cher lecteur ou chère lectrice

Si tu lis aujourd'hui ce témoignage, j'en viens à la conclusion que tu as un ou plusieurs restaurants. Ou que tu t'apprêtes à te lancer. OU que tu es un fan des burgers Avec Amour, ou un amoureux secret de Pauline (désolée, j'écris spontanément, j'ai explosé de rire en pensant ça, alors je le laisse. En revanche, t'as aucune chance avec Antonin qui fait les meilleurs burgers de Paris...)

Reprenons : si tu lis ce témoignage, c'est que tu es sûrement en recherche de solution, d'inspiration ou de réconfort, de réassurance. Alors, voici un mot pour toi :

Plus que jamais, je suis persuadée qu'il faut tout un village pour développer et faire tourner nos restaurants. Si les réseaux sociaux, le voisin concurrent taiseux ou ton papa boulanger t'ont laissé croire qu'il faut "tout faire tout seul" sache que c'est une illusion.

 

Depuis la nuit des temps, les restaurants fonctionnent à la force de nos bras, nos jambes, la clarté de nos esprits, la passion dans nos cœurs. Et l'amour pour nos clients, nos salariés et tout l'écosystème qui permet la vie d'un restaurant aujourd'hui.

On mesure nos résultats en euros, en deadline et depuis une dizaine d'années, en étoiles google.

 

Mais cette partie-là, c'est ce que j'appelle "la ligne d'arrivée." Tu dois savoir elle se trouve et quand tu l'atteindras. Mais plus important encore : tu dois te concentrer sur comment y aller.

 

Ce fameux "comment," c'est mon cœur de métier.

 

Alors, si tu ne te sens pas en 100% confiance quant à ton usage du temps (organisation), l'efficacité de ta communication avec les gens (management.) Et ton amitié avec l'argent (gestion), décroche de ta ligne d'arrivée un instant et va chercher réponse à tes questions.

Il n'y a pas de médaille supplémentaire pour ceux qui passent la ligne seuls.

Et il n'y a pas de bonus pour ceux qui s'épuisent en le faisant.

Que des regrets.

Alors, si tu ne sais pas par où repartir pour emmener ton entreprise de restaurant à sa ligne d'arrivée, tu peux, comme Pauline en 2024, commencer par réaliser un diagnostic-flash avec moi. Et on repartira de là.

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