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Études de cas

Audrey a suivi le programme "Next step" : 3 ateliers cours et ciblés pour repartir 100% au clair sur ses priorités. Et surtout... reboostée !!

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Audrey Batigne

redonner un sens au travail quotidien & incarner sa légitimité

Audrey avait enchaîné tous les épisodes de mon podcast Passe-moi le sel en deux semaines !

 

Elle se reconnaissait dans beaucoup de situations, mais elle pensait que sa situation à elle était « bénigne, » que c’était « des petits problèmes » qui ne méritent pas qu’on s’y attarde.

 

Et encore moins de faire l’objet d’une demande de « se faire aider. »

 

Forcée de constater en fin d’année qu’elle se sentait épuisée par le quotidien, avec un fond de colère, elle s’est lancée, m’a fait confiance et on s’est retrouvés pour réaliser son diagnostic-flash (étape préparatoire à tout accompagnement.)

 

8 mois plus tard, on prend le temps pour faire son bilan et voici le « Avant/Après d’Audrey » :

1. Avant l'accompagnement :

“J’avais décidé d’investir dans des travaux pour le restaurant donc j’avais besoin que ça marche à la sortie. Mais je me sentais seule pour porter tout ce que ça représentait."

Pour une Audrey « de peu de mot » c’est déjà énormément qui est dit ici.

 

Audrey a 25 ans et un restaurant. Dont elle gère tout le quotidien opérationnel seule : cuisine, service, nettoyage, gstion des demandes et des prestations traiteur.

 

Au tout début 2025, elle investit dans de grands travaux de rénovation et professionnalisation du lieu. Au-delà de sa volonté de sécuriser le projet suite à cet investissement, Audrey m’explique aussi qu’elle a "du mal à se sentir légitime dans son restaurant, à être prise au sérieux."

 

« En me voyant, dans mon restaurant, un client aurait facilement pu croire que j’en étais une aussi. »

 

Fatigue, colère, illégitimité ne font pas bon ménage chez l’entrepreneur.

Audrey s’en doutait, elle avait minimisé l’impact de ses ressentis négatif sur les résultats de son restaurant.

2. Le déclic d'Audrey : pourquoi se faire accompagner ?

“J’étais épuisée et je voulais que quelqu’un d’extérieur et qui a de l’expérience dans les restos me dise : ce qui est ok, pas ok, ce qu’il fallait faire.”

Ça, c’est le piège classique dans lequel s’engouffre le marketing.

Gros problème ressenti = vendre grosse solution.

 

Tout ce qu’il y a de moins éthique.

 

Qui ici n’a jamais rêvé de « juste poser son cerveau par terre et laisser quelqu’un prendre les rênes ? » Par volonté d’une garantie de résultat ou parfois de ne pas tout porter seul tout simplement.

 

Au départ, Audrey cherchait un regard extérieur, comme une liste de conseil. Aujourd’hui, elle fait la réalisation suivante “J’avais envie de ça, mais je n’avais pas besoin de ça.”

 

Car ce dont elle avait besoin, c'était : d’y voir clair, de retrouver de la sérénité.

​3. Les changements concrets

"J'ai gagné 10 ans d'expérience."

Audrey a suivi le programme "Next Step" un format court amplement suffisant pour celles et ceux qui comme Audrey sont déjà sur de bons rails de développement. Mais ont néanmoins besoin d'un cran de plus de confort, de clarté. Et 10 crans de plus de sérénité sur l'avenir.

Notre première étape a été de donner une direction au travail d'Audrey :

 

En travaillant sa vision à long, moyen et court terme, Audrey a apaisé sa pression quotidienne. Qui venait principalement du fait qu’elle se voyait « aller à droite, à gauche, bosser, bosser, bosser, bosser, sans cadre, sans prise de recul. »


Aujourd’hui, elle a compris que tout ce qu’elle souhaitait était possible, gérable et même raisonnable. Et que le stress était totalement évitable. Et inutile.

Aujourd’hui, elle avance avec sérénité et structure.

Nous avons ensuite travaillé et trié ses priorités stratégiques, ce qui a impacté sa posture : 

 

“J’avais l’impression de ne pas être légitime.”

Audrey avait l’impression ne pas toujours prendre son restaurant au sérieux. Comme si c’était un jeu, comme si son « projet manquait de crédibilité. »

 

Audrey se voyait accepter des demandes traiteurs qui sortaient de toute espérance de rentabilité.

Tu m’as appris à savoir dire non et à me respecter, respecter mon travail, ne pas accepter n’importe quelle demande. Maintenant je sais que si j’en refuse une qui est non stratégique, je fais de la place pour une commande bien plus intéressante.”

 

 

En travaillant à clarifier ses objectifs financiers de l’année, ses priorités pour les atteindre et trier les différents projets, Audrey a appris à incarner pleinement son rôle.

 

Et trouver cette légitimité tellement méritée.

 

Elle adore son travail, mais désormais, elle le trouve « concret, cadré et plus “à la one again”.

Enfin, nous avons facilité son passage à l'action :

Audrey est passée à l’action et a mis en place des outils de gestion indispensable comme l’inventaire. Inventaire qui, pour beaucoup, est une corvée ! Mais pour Audrey, c’est une aventure de plus :

 

“J’ai enfin mis en place l’inventaire, c’est génial ! Je vois l’argent qui dort sur mes étagères. Je sors de mon inventaire et je suis trop contente !”

 

Mettre en place cet outil a transformé son rapport à la gestion.


Ce qui semblait abstrait est devenu concret.

​4. conclusion et résultat visible

"le plus gros impact de ce travail, C’est mon état d’esprit : je suis sereine, je n’ai plus de stress.”

Des outils et réflexes concrets qui font désormais partie de son quotidien et ont radicalement changé son rapport au stress.

Aujourd’hui, quand il arrive quelque chose, je sais que c’est pour une raison, et je cherche le trésor caché.”

Audrey dédramatise très vite quand une situation la tend. Elle n’accumule plus, elle réagit en utilisant tous ses nouveaux outils qu’on a mis en place et utilisé pendant son coaching : vision long terme, projections, gestion de l’émotion.

 

Audrey a 25 ans, gère son restaurant depuis + d’1 an, célèbre son premier bilan et me dit que ce travail a été un accélérateur d’expérience. « J’ai gagné 10 ans ! »

 

Mais surtout, elle réalise qu’« il n’y a pas beaucoup de gens qui peuvent dire, à 25 ans, qu’ils ne ressentent pas de stress vis-à-vis de leur entreprise. »

 

Et je ne peux qu’être d’accord avec elle.

 

Il y en a même trop peu.

5. Le mot de laurine (émue après cet entretien avec Audrey)

Au-delà de cette magnifique évolution à laquelle j’ai eu la grande chance d’assister et de participer, je voulais écrire quelque part (ici ?)  à quel point j'ai trouvé Audrey unique.

Elle fait partie des plus jeunes restauratrices que j’ai rencontrées.
Sa structure n’est pas la plus petite, mais la moins staffée.


Et ça, ça en dit long sur ses compétences en expérience client, en organisation opérationnelle et en détermination quotidienne.

Audrey est une restauratrice que j’admire profondément, car, à mes yeux, elle incarne pleinement l’esprit entrepreneurial.

L’entrepreneuriat, c’est un objet brillant d’accomplissement pour certains, la source de grandes insécurités pour d’autres.


Pour Audrey, c’est l’aventure quotidienne.

Une alternance de longs chemins tranquilles, parfois un coup de stress proche d’un ravin (ou une erreur de l’URSSAF 😂), de la force physique, et beaucoup d’amour pour les personnes qui l’entourent de près ou de loin.

Audrey dégage cette incroyable puissance des gens qu'on a trop sous-estimés.

Je la vois comme une exploratrice de ses envies, de ses rêves, car elle, mieux que la majorité des personnes que j’ai la chance d’accompagner, sait avancer à la force de ses envies et de ses valeurs. Et non pas fuir en avant avec la peur comme moteur.

Quand on a écrit cet article, Audrey me disait vouloir recommencer sa nouvelle année avec un moment “bilan, questions” en coaching.


Et à travers ça, une fois encore, j’ai vu l’entrepreneuriat dans toute sa beauté : la prise de recul, l’anticipation et cette passion intacte pour son quotidien.

Et puis ce réflexe si juste, si sain, quand une appréhension pointe le bout de son nez : “Ça sert à rien de stresser.”

Merci Audrey, pour ta confiance.
Et pour cette belle leçon d’entrepreneuriat.

à toi, cher lecteur ou chère lectrice

Audrey pensait avoir “des petits problèmes bénins” et ne pensait pas qu’un diagnostic (et encore moins un accompagnement !!) ferait une si grande différence pour elle.

Elle avait à l’esprit cette image de conseil très imposant, réservé aux “plus grands.” Mais elle a quand même franchi le pas et comme elle l’a dit, cette décision a impacté tout ce qui a suivi dans son restaurant en 2025.

Toi aussi, tu n’as peut-être pas besoin d’un “grand programme” ni de beaucoup.

 

Mais si tu sens que tu manques de clarté ou que ton stress prend trop de place dans tes décisions... Alors le Diagnostic Flash est le meilleur point de départ pour y voir clair, calmement, et remettre de l’ordre dans tout ça.

Il est toujours offert, malgré ses places limitées.
 

N’attends pas que le stress, la peur et les “vrais” problèmes s’installent. Inspire-toi d’Audrey qui a réagi plus tôt et qui n’a aucun regret (on reconduit même pour 2026.)

Il n’y pas de meilleur moment qu’aujourd’hui pour le réserver.

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